jeudi 28 octobre 2010

Analyse et commentaires de la scéance à l'assemblée Nationnale

Comment les députés ont décidé la réduction de 75 à 50 % de l'ISF pour faire satisfaire les gestionnaires de fonds

Vendredi 22 octobre 2010, à l'Assemblée Nationale, les députés ont proposé, dans le cadre du projet de loi des finances pour 2011, de baisser l'avantage fiscal qui incite les assujettis à l'ISF de souscrire sans intermédiaires au capital des TPE et PME créatrices d'emplois.

Nous présentons, ci-dessous, les arguments, extraits du compte rendu officiel, qui ont été utilisés pour décider de réduire de 75 à 50 % la réduction de l'ISF dont peuvent bénéficier les particuliers souscrivant en direct au capital des TPE et PME créatrices d'emplois.

M. François BAROIN, ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l’État était présent et représentait le gouvernement sur cette question.

Deux députés ont proposé chacun un amendement au projet de loi des finances pour 2011 :

1°/ L'amendement N° 495 présenté par Pierre-Alain MUET (groupe PS) Inspecteur général des finances Membre de la commission des finances qui présente sa proposition :

Cet amendement propose de ramener le taux de l’incitation à investir en fonds propres dans les PME de 75 % à 25 % au titre de l’ISF, par cohérence avec le taux appliqué pour l’impôt sur le revenu. De la même façon, il propose de limiter l’avantage de ce dispositif à 25 000 euros, soit le niveau équivalent à celui qui s’applique pour les dispositifs les plus favorables en matière d’impôt sur le revenu. On retrouve cette proposition dans le récent rapport du conseil des prélèvements obligatoires

2°/ L'amendement N° 44 présenté par Gilles CARREZ (groupe UMP) Fonctionnaire de l'Etat en disponibilité Rapporteur général de la commission des finances. Voici la présentation de son projet d'amendement :

"Selon toutes les estimations, ce dispositif mis en place en juillet 2007 a connu un réel succès et a eu des effets positifs. Le Gouvernement n’a sans doute pas eu la prémonition de ce qui allait arriver, mais sans un tel dispositif, nos PME auraient eu plus de mal à se procurer des fonds propres pendant la crise financière. Le dispositif a eu alors son plein effet.

L’amendement de M. Muet, qui vise à réduire le taux de 75 % à 25 % et le plafond de 50 000 euros à 25 000 euros va trop loin. L’amendement N° 44 que je présente au nom de la commission des finances se borne à ramener à 50 % le taux d’investissement direct dans les PME. Il existe en effet deux régimes différents. Soit le particulier investit directement dans une PME et obtient une réduction de 75 % avec un plafond de 50 000 euros de réduction fiscale. Soit il passe par l’intermédiaire d’un fonds – FCPI, FIP ou FCPR – avec une réduction de 50 %."……" L’avantage fiscal de 75 % est tellement élevé qu’on ne se préoccupe plus de l’utilité économique de l’investissement. Victorin Lurel (député PS de la Guadeloupe) l’a dénoncé : avec une défiscalisation aussi intéressante, on a pu investir dans des bateaux qui ne naviguaient jamais ou des logements qui n’étaient jamais habités…." "….on a vu apparaître récemment des investissements dans des caves à vin. L’investissement dans une PME ne peut pas être récupéré avant cinq ans, mais, dans ce cas, on peut profiter de son investissement au fur et à mesure, sous forme de bonnes bouteilles Je n’invente rien, même si ce cas reste exceptionnel. Notre amendement doit permettre de revenir à la rationalité économique dans l’usage de cet excellent dispositif que constitue l’investissement PME.

Notre avis :

Il est logique que les investissements bénéficiant de l'incitation ISF soient des investissements à risques, créateurs d'emplois ou innovants dans la technologie ou la recherche.

La prise en charge des 75 % par l'Etat sous forme de réduction d'impôts a pour but de compenser en partie le risque de perte de l'investissement.

Les investissements sans risque doivent donc être exclus.

En effet, on peut estimer à une chance sur quatre, voire moins de récupérer intégralement son investissement avec la part de l'ISF investie dans des TPE ou PME.

L'investissement peut être très rentable à partir de deux investissements réussis sur quatre. L'échec de tous les investissements existe aussi.

C'est une erreur de faire passer de 75 à 50 %. L'incitation ISF sous prétexte qu'il existe quelques conseils financiers astucieux qui utilisent les failles de la loi pour investir dans des projets non exclus par les textes de loi.

La diminution de l'incitation fiscale aura pour conséquence que les petits investisseurs préféreront payer l'ISF que d’investir dans les TPE et PME.

En effet, alors que la part de l'investissement à compléter par l'assujetti pour souscrire dans une entreprise représente aujourd'hui 33% du montant de l'ISF (impôt de 75 = versement de 25), avec l'amendement cette part de l'investissement par rapport à l'ISF va passer à 100 % de l'Impôt (impôt de 75 = versement de 75).

Au début de l'année ces épargnants ont appris suite à un rapport de l'IGF (Inspection Générale des Finances) que 40 % de la souscription qu'ils ont versé pour réduire leur ISF ou leur impôt sur le revenu vont dans la poche des intermédiaires.

Bientôt ils vont savoir que pour un investissement en direct, la réduction ISF tombe de 75% à 50%.

Il est évident que tout l'intérêt de souscrire au capital d'entreprises non cotées va décliner, voire disparaître totalement, éliminant une source de financement de la création d'emplois.

Rappelons que le coût pour l'Etat se trouve largement compensé par la création ou le maintien d'emplois que nous estimons pour 2009 à 15 000 emplois.

Viennent s'ajouter en bénéfice pour l'Etat les retombées en TVA dues à l'accroissement d'activités générées par ces investissements.


Il suffit pour arrêter les abus décrits par M. CARREZ, qui effectivement existent, de créer simplement une "liste noire" qui exclurait de telles activités ou dans le doute on pourrait s'adresser aux services fiscaux intéressés.


Intervention de M. François BAROUIN, ministre du budget.

"Le Gouvernement est défavorable à l’amendement de M. Muet, qui ne correspond ni à l’esprit ni à la philosophie générale de sa politique. J’ajoute que le rabot proposé est trop fort…."

". La réduction proposée par le rapporteur général nous ramènerait au droit commun : il n’y aurait plus d’avantages particuliers à utiliser ce dispositif destiné à financer les PME."

J’ajoute que le Gouvernement s’est engagé à ouvrir l’année prochaine un large débat sur la stratégie fiscale. Nous en avons parlé hier dans le cadre du débat « bouclier contre ISF » –pour résumer de façon très caricaturale un débat qui a duré plus de deux heures dans l’hémicycle. Il me semble qu’il serait plus pertinent d’aborder la question l’année prochaine, entre janvier et juin.

Le Gouvernement entend le message qui lui est adressé, et il en comprend l’origine, mais pour toutes les raisons que je viens d’exposer, il est défavorable à l’amendement présenté par le rapporteur général.

Notre avis :

Il est dommage que le ministre n'ait pas dit plus clairement qu'il était défavorable à l'amendement de M. CARREZ

M. Michel Bouvard. Vice-président de la commission des finances (groupe UMP) Chargé de mission : Monsieur le ministre, j’entends bien vos arguments relatifs à la stabilité fiscale. Selon vous, il y a un risque que la mesure proposée par la commission des finances perturbe les investisseurs et génère des craintes.

Il se trouve qu’un certain nombre de membres de la commission des finances, autour du rapporteur général, a eu l’occasion d’interroger dans leurs régions les gestionnaires de fonds en question.

M. Gilles Carrez, rapporteur général. C’est exact !

M. Michel Bouvard. Ils nous ont eux-mêmes invités à retenir le taux de 50 %. Ils estiment qu’il est plus responsabilisant et qu’il améliorera la qualité des investissements, et donc la sélectivité des projets soutenus.

M. Gilles Carrez, rapporteur général. C’est vrai !

M. Michel Bouvard. Plutôt que d’épuiser le fonds de façon très rapide, au fur et à mesure que les projets se présentent, la modification du taux permettra de choisir de meilleurs projets et rendra les investisseurs plus responsables. Cela permettra aussi d’éduquer, si je peux me permettre d’employer cette expression, certains investisseurs qui ne sont pas des professionnels de l’investissement dans les PME et qui passent par les gestionnaires.

J’estime, dans ces conditions, qu’il n’y a pas de raison de reporter l’échéance.

M. Gilles Carrez, rapporteur général. Très bien !


Notre avis :

1)/ Il est dit clairement sans détour (il fallait oser..) que les gestionnaires de fonds ont eux-mêmes invités (les députés) à retenir le taux de 50 %.

C'est à dire ne pas toucher à l'avantage fiscal pour les particuliers investissant par l'intermédiaire d'un fonds puisque celui-ci est déjà de 50 %. Seuls sont concernés par l’amendement les particuliers qui investissent en direct.

Les gestionnaires de fonds ont manifestement fait pression sur les députés. On appelle ça du lobbying : (Groupe de pression qui d'influence les lois, les réglementations, les décisions..., pour favoriser des intérêts particuliers).

Dans le cas présent il s'agit d'éliminer la concurrence de l'ISF en direct sans intermédiaire avec les fondsFCPI, FIP ou FCPR de l'ISF, quitte à détruire la vocation économique et sociale de l'investissement ISF dans les TPE et PME.

En effet il y a un risque certain que la mesure proposée par la commission des finances perturbe les investisseurs en s'ajoutant à la découverte des frais de 40 % prélevés par "les gestionnaires de fonds en question" et génère des craintes et des déconvenues qui détourneront définitivement les particuliers d'investir vers les TPE et PME non cotées.

2°/ Il a été dit (voir ci-dessus) ".. Plutôt que d’épuiser le fonds de façon très rapide, au fur et à mesure que les projets se présentent, la modification du taux permettra de choisir de meilleurs projets.." : La traduction de ce propos est simple : ON NE VEUT PAS DE TPE OU PME QUI ONT BESOIN DE SE FINANCER ! ! Pourtant le concept de la déduction incitative sur l'ISF est justement d'investir dans les entreprises risquées.

Enfin, il a été également précisé "..la réduction ISF de 75% à 50% rendra les investisseurs plus responsables. Cela permettra aussi d’éduquer, si je peux me permettre d’employer cette expression, certains investisseurs qui ne sont pas des professionnels de l’investissement dans les PME et qui passent par les gestionnaires".

C'est un comble ! Comment peut-on dire que "…déposer de l'argent dans un fonds permettra d'éduquer certains investisseurs qui ne sont pas des professionnels de l’investissement dans les PME et qui passent par les gestionnaires" ?

C'est l'investissement en direct qui rend responsable et formateur !

L'esprit originel de la loi était orienté uniquement vers l'investissement en direct des particuliers dans les entreprises, est aujourd'hui dévoyé avec cet amendement qui rejette l'investissement en direct des particuliers au profit des fonds FCPI, FIP ou FCPR !


Signez la pétition contre la baisse de la réduction ISF :

http://reduction-isf-investissement-pme.fr/

vendredi 22 octobre 2010

Petition contre la baisse de la réduction ISF

Signer la pétition avant le vote de la loi CARREZ ICI ou LA

L'amendement Carrez prévoit de faire passer la réduction de 75 à 50 % nous demandons aux députés de ne pas voter cet amendement parce que :

  • 15 000 emplois ont été créés ou maintenus en 2009/2010 grâce à l'ISF
  • La baisse de la réduction ISF entraînera ipso facto une diminution des fonds versés aux PME et arrêtera les créations d'emplois amorcées par l'ISF
  • La perte pour l'Etat des revenus sur l'ISF investis dans les PME est largement compensée par des recettes nouvelles générées par le développement de l'activité des bénéficiaires de l'ISF et par la réduction du chômage.

Savez-vous que l'année dernière, l'ensemble des investissements des 83 847 contribuables qui ont investi leur ISF dans des augmentations de capital destinées aux PME, à représenté 1,1 milliard d'euros.

On estime que 100 000 € investi dans une PME permet de créer ou maintenir au moins 1,5 emplois dans les dix huit mois qui suivront l'augmentation de capital. Ainsi, ce sont environ 15 000 emplois qui ont été créés ou maintenus créant aussi un futur vivier d'emplois à venir.

Si l’amendement Carrez est adopté à l’Assemblée Nationale : à compter de 2011, la réduction ISF ne sera plus que de 50 % au lieu de 75 %


Quelle sera l'incidence de la réduction de 75 à 50 % sur l'ISF et de 25 à 20 % de l'Impôt sur le Revenu :

Au début de l'année les épargnants ont appris :

  • Que 40 % de la souscription qu'ils ont versé pour réduire leur ISF ou leur impôt sur le revenu vont dans la poche des intermédiaires.
  • Bientôt ils vont savoir que la réduction ISF tombe de 75 à 50 % et la réduction IRPP passe de 25 à 20 %.

Il est évident que tout l'intérêt de souscrire au capital d'entreprises non cotées va décliner, voir disparaître, éliminant une solution ingénieuse de financement de la création d'emplois.
La réduction fiscale créée pour compenser une partie du risque d'investir dans les TPE ou PME ne sera plus aussi attrayante et la chute de l'investissement des épargnants dans le non cotée devrait être très importante.
L'initiative d'encourager les Français à souscrire dans le capital des entreprises non cotées a été courageuse en ce qui concerne le montant de réduction, et intelligente parce qu'elle est créatrice d'emplois.
L'amendement Carrez va démolir cette initiative créatrice d'emplois au lieu de la développer.

  • L'apport de fonds propres permet aux TPE et PME à potentiel de croissance de changer de dimension si cet objectif est leur cible. Les TPE deviennent ainsi progressivement des PME et ces dernières peuvent devenir des E.T.I. (Entreprises de Tailles Intermédiaire).
  • Mais plus important encore : l'investissement des particuliers apporte une envie de croissance et de création d'emplois aux entreprises qui sortent alors de leur carton leurs projets innovants.

Signer la pétition avant le vote de la loi CARREZ ICI ou LA

lundi 20 septembre 2010

Le Nouveau Centre réclame la suppression de l'ISF et du bouclier fiscal

Les députés centristes vont proposer la création d'une nouvelle tranche d'imposition à l'impôt sur le revenu.
Suite à la publication du coût du bouclier fiscal pour 2009, le Nouveau Centre a dans un communiqué exigé la suppression de l'Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF) et du bouclier fiscal. « Charles de Courson, député de la Marne et Vice-président de la commission des finances, Nicolas Perruchot, député du Loir-et-Cher, et Philippe Vigier, député de l'Eure-et-Loir réaffirment la nécessité de supprimer le bouclier fiscal et l'ISF pour plus de justice sociale. Plus qu'une nécessité, c'est une exigence ! », ont-ils clamé.

www.toutsurlisf.com, 20 septembre 2010

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lundi 6 septembre 2010

Sarkozy prêt à des concessions sur le bouclier fiscal

L'Elysée envisage d'inciter les bénéficiaires à investir dans les PME.

Le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant n'a pas exclu, dimanche sur Europe 1, une évolution du très contesté bouclier fiscal afin d'inciter les contribuables les plus aisés à investir dans les petites et moyennes entreprises (PME).

Invité du "Grand Rendez-vous" Europe 1/Le Parisien, il a d'abord défendu le principe du bouclier, qui prévoit qu'un contribuable ne peut verser au fisc plus de la moitié de ses revenus. "Il faut maintenir cet objectif que les gens qui ont les moyens d'investir en France continuent à investir en France et par conséquent continuent à y demeurer", a déclaré Claude Guéant.

Mais il a évoqué "un précédent" au sujet du dipositif ISF-PME, qui permet à des personnes assujéties à l'impôt de solidarité sur la fortune "de s'exonérer d'une partie des impôts à condition d'investir dans des petites et moyennes entreprises qui ont besoin de fonds propres". "On a peut-être là une piste de réflexion", a-t-il expliqué. Prié de dire si une évolution du bouclier fiscal en ce sens était donc envisageable, il s'est borné à répondre, sans plus de précisions: "c'est une hypothèse qui est à l'étude".

L'Expansion.com, 6 septembre 2010

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vendredi 27 août 2010

COMMUNIQUE DE PRESSE

Comment investir son ISF en direct et sans frais dans une petite entreprise tout en contribuant à la création d’emplois ?

L’association Love Money pour l’Emploi organise une formation dans laquelle les particuliers auront l’opportunité de rencontrer une dizaine de dirigeants de petites entreprises.


« Investir dans les petites entreprises à fort potentiel de développement »

SAMEDI 25 Septembre 2010
A partir de 8h45

A l’Hippodrome d’Auteuil, avec l’aimable participation et l’accueil de France Galop

Ce séminaire consiste à transmettre aux particuliers non initiés des connaissances sur les moyens d’investir en direct dans des petites entreprises non cotées afin de bénéficier de réductions d’impôts. Des experts du non coté reconnus dans ce domaine expliqueront l’utilité des actionnaires individuels dans une petite entreprise et les moyens dont ils disposent pour effectuer un investissement averti.

Quelques thèmes abordés lors du séminaire
  • Comment sélectionner les entreprises pour investir ?
  • Pourquoi les chances de plus-values peuvent être très importantes dans une petite entreprise ?
  • Comment revendre ses actions ?
Un réel contrôle des informations fournies par l’entreprise.

Les entreprises ciblées prévoient ou connaissent une croissance soutenue avec un potentiel de création d’emploi. Afin de protéger les investisseurs de toute information erronée, l’association impose aux dirigeants d’entreprises de rédiger un document de présentation détaillé appelé prospectus de souscription. Il précise en détail l’activité de la société, son patrimoine et ses perspectives de développement. L’association effectue les diligences nécessaires pour vérifier si les informations fournies sont exhaustives.

Un accompagnement pendant 5 ans des entreprises et des investisseurs

L’association supervise l’activité financière de l’entreprise (bilan, compte de résultats,…) et s’assure que l’information financière parvienne régulièrement aux investisseurs.

Accéder au programme complet

avec la participation de :


&

vendredi 11 juin 2010

L’association Love Money pour l’Emploi a sélectionné et
contrôlé 3 entreprises dans la recherche et la santé


Créée en 2003, le première société conçoit et développe des anti-oxydants naturels rares pour la Santé, la Nutrition et la Cosmétique.
La société exploite déjà 3 brevets internationaux et vient de déposer deux nouvelles demandes de brevets.
Afin d’accélérer son développement et assurer la commercialisation de ses produits,
elle a besoin de collecter 1 million d’euros.

La deuxième, créée en 2002, développe une famille de molécules, les Dendrogénines, permettant à des cellules endommagées ou déréglées, de retrouver une activité normale ou bien d’être éliminées. Leurs applications sont le traitement des
cancers (leucémie, mélanome, cancer du sein) et des maladies neurodégénératives (surdité, Parkinson, Alzheimer, rétinopathie).
Afin de financer les études de toxicologie conduisant à une administration chez l’homme, elle a besoin de collecter 0,7 million d’euros.

enfin, la troisième, créée en 2009, développe une nouvelle technologie dans la biomécanique cellulaire et tissulaire.
L’innovation consiste à appliquer une force magnétique à des tissus cancéreux, dans le but de ramener des cellules cancéreuses à la normale.
Le concept est déjà validé à partir de cellules cancéreuses humaines in vitro.
Afin de poursuivre les étapes de R&D conduisant à une application chez l’homme, cette société a besoin de collecter 0,7 million d’euros.

Plus d'informations sur ces entreprises : http://www.love-money.org/