Les députés centristes vont proposer la création d'une nouvelle tranche d'imposition à l'impôt sur le revenu.
Suite à la publication du coût du bouclier fiscal pour 2009, le Nouveau Centre a dans un communiqué exigé la suppression de l'Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF) et du bouclier fiscal. « Charles de Courson, député de la Marne et Vice-président de la commission des finances, Nicolas Perruchot, député du Loir-et-Cher, et Philippe Vigier, député de l'Eure-et-Loir réaffirment la nécessité de supprimer le bouclier fiscal et l'ISF pour plus de justice sociale. Plus qu'une nécessité, c'est une exigence ! », ont-ils clamé.
www.toutsurlisf.com, 20 septembre 2010
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Love Money pour est une association loi 1901, créée en 1983, qui regroupe des actionnaires et investisseurs potentiels de PME : elle informe, protège et défend les actionnaires et offre un cadre d'investissement sécurisant pour les particuliers qui souhaitent investir en direct dans des PME ou TPE à fort potentiel de croissance. Elle propose également un Code de déontologie aux dirigeants d'entreprise qui désire procéder à une augmentation de capital.
lundi 20 septembre 2010
lundi 6 septembre 2010
Sarkozy prêt à des concessions sur le bouclier fiscal
L'Elysée envisage d'inciter les bénéficiaires à investir dans les PME.
Le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant n'a pas exclu, dimanche sur Europe 1, une évolution du très contesté bouclier fiscal afin d'inciter les contribuables les plus aisés à investir dans les petites et moyennes entreprises (PME).
Invité du "Grand Rendez-vous" Europe 1/Le Parisien, il a d'abord défendu le principe du bouclier, qui prévoit qu'un contribuable ne peut verser au fisc plus de la moitié de ses revenus. "Il faut maintenir cet objectif que les gens qui ont les moyens d'investir en France continuent à investir en France et par conséquent continuent à y demeurer", a déclaré Claude Guéant.
Mais il a évoqué "un précédent" au sujet du dipositif ISF-PME, qui permet à des personnes assujéties à l'impôt de solidarité sur la fortune "de s'exonérer d'une partie des impôts à condition d'investir dans des petites et moyennes entreprises qui ont besoin de fonds propres". "On a peut-être là une piste de réflexion", a-t-il expliqué. Prié de dire si une évolution du bouclier fiscal en ce sens était donc envisageable, il s'est borné à répondre, sans plus de précisions: "c'est une hypothèse qui est à l'étude".
L'Expansion.com, 6 septembre 2010
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Le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant n'a pas exclu, dimanche sur Europe 1, une évolution du très contesté bouclier fiscal afin d'inciter les contribuables les plus aisés à investir dans les petites et moyennes entreprises (PME).
Invité du "Grand Rendez-vous" Europe 1/Le Parisien, il a d'abord défendu le principe du bouclier, qui prévoit qu'un contribuable ne peut verser au fisc plus de la moitié de ses revenus. "Il faut maintenir cet objectif que les gens qui ont les moyens d'investir en France continuent à investir en France et par conséquent continuent à y demeurer", a déclaré Claude Guéant.
Mais il a évoqué "un précédent" au sujet du dipositif ISF-PME, qui permet à des personnes assujéties à l'impôt de solidarité sur la fortune "de s'exonérer d'une partie des impôts à condition d'investir dans des petites et moyennes entreprises qui ont besoin de fonds propres". "On a peut-être là une piste de réflexion", a-t-il expliqué. Prié de dire si une évolution du bouclier fiscal en ce sens était donc envisageable, il s'est borné à répondre, sans plus de précisions: "c'est une hypothèse qui est à l'étude".
L'Expansion.com, 6 septembre 2010
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